Sunday, July 31, 2011

Whirling Dervish - Al Kindi ensemble

« Stabat Mater », un hommage à la Vierge Beiteddine festival

L'Orient Le JOUR
« Stabat Mater » de J. J. Weiss : « Au commencement était le Verbe »
Par Colette KHALAF | 01/08/2011


« Stabat Mater », un hommage à la Vierge, polyphonique et réunificateur. Photo Farès Chébab

Festival de Beiteddine Un merveilleux hors temps sous la direction de Julien Jalaleddine Weiss à travers cet hommage chrétien et musulman à la Vierge, ce chant polyphonique où les deux grandes religions du Liban se sont répondu en écho reprenant les immortels textes sacrés de l’humanité.
Fallait-il applaudir ? Ovationner ? Se recueillir et méditer ? Ou simplement prier que ces moments sublimes ne s’achèvent pas ? Il n’y a réellement pas de mots pour décrire les instants intenses qu’a vécus le public samedi soir à Beiteddine. Plus qu’une performance , plus qu’un spectacle scénique, la création « Stabat Mater » de Julien Jalaleddine Weiss était un moment de pur authenticité livré en toute abnégation par des religieux de tous bords. Un laps d’éternité happé au temps terrestre et périssable. Comme un baptême purificateur et élévateur.
Certains aimeraient voir dans cet hommage islamo-chrétien, créé au festival des Musiques sacrées de Fès puis joué successivement au théâtre de la ville de Paris, au Sacred Music Festival of Upsala, au festival de Musique sacrée de Perpignan et à la Fondation Gulbenkian de Lisbonne, certains aimeraient y voir une tentative de prôner en ces temps tourmentés l’idée tant rabâchée d’une « coexistence pacifique » par cette figure maternelle apaisante de Mariam qui évoque l’héritage commun aux deux grandes religions monothéistes du Liban. Mais le musicien franco-suisse Julien Jalaleddine Weiss, qui a choisi pour terres d’adoption la Syrie (Alep) et la Turquie, préfère parler de convergence esthétique de langages musicaux savants de l’Orient et un possible dialogue entre « L’Echos » grec byzantin et le Maqam arabo-musulman, entre le bourdon ou le lisson et l’incantation soufie, le dhikr, qui l’a inspiré dans cette création. Car ce sont, selon Weiss, « deux types de basses continues chrétienne et musulmane qui produisent l’effet d’un mantra hypnotique et qui prennent leur source dans une commune cosmogonie “Au début était le Verbe” ».
Ce spécialiste des grandes musiques traditionnelles de l’islam mystique qui, depuis sa découverte émerveillée de la musique savante arabe en 1976, a consacré tout son travail à explorer l’immense richesse de ce legs musical pour le purifier en lui « redonnant son éclat originel », dira Salah Stétié, a supprimé tout instrument européen, réduisant les instruments purement arabes, le oud, le qanoun, le ney et le riqq, à un rôle de figuration, puis progressivement a introduit des instruments d’autres traditions d’Orient comme le « djoza » irakien, le « tar » d’Azerbaïdjan, le « yayli tanbur », le « rebab » et le « kementche » turc ottoman, le tabla indien et le zerb iranien. Il a par ailleurs remis en valeur les formes improvisées, le taqsim et la qacida, et réduit les chants répétitifs. Il a aussi développé dans la musique profane et sacrée le principe de l’Ostinato : la basse continue, en utilisant des cycles rythmiques beaucoup plus complexes.
Autour de l’ensemble al-Kindi qu’il a lui-même fondé, se sont installés le chanteur soliste Bekir Buyukbas, muezzin/Hafiz d’Istanbul, le chœur byzantin Tropos d’Athènes ainsi que les soufis Qaderi et Rifai d’Alep dont le chanteur soliste cheikh Ahmad Haboush.
Les chants byzantins de louanges à la Sainte Vierge, la sourate du Coran, les « anashids » dédiés à Mariam, le « Bashraf » du prince moldave et chrétien du XVIIe siècle et le « Spiritual Journey » composé par J.J.W. s’enchaîneront, s’enchevêtreront, se superposeront pour atteindre une sorte de « nirvana hypnotique » harmonieux sous-tendu par ce haletant « laillahillallah ». Dans cette magnifique « rencontre avec les anges » où toutes les voix et les polyphonies du monde se rejoignent, les derviches tourneurs qui ont accompagné les tableaux musicaux, main levée vers le Créateur et l’autre inclinée pour transmettre la « Parole », tourneront dans un vertige extatique jusqu’à ce que les corps ne soient plus qu’une forme diaphane et transparente. Béni soit ce moment de grâce.

Demain ... c'est toi ...


J'ai brûlé tant d'amour
A la flamme des nuits.
J'ai laissé tant de jours
Sur des routes d'ennui.

J'ai trouvé ton regard
Dans cette foule immense,
Un éclair dans le noir,
Un cri dans le silence.

Demain, c'est toi.
L'avenir de mes pas,
C'est l'été qui commence,
Quelque chose comme la chance.
Demain,
Demain, c'est toi,
La musique de ma voix,
Le vent qui me soulève,
Le bonheur qui m'enlève.

Brisé par tant de chaînes,
J'ai voulu m'envoler.
J'attendais que tu viennes,
Juste pour exister.

J'ai perdu le soleil
Comme on perd la raison.
Lance-moi dans le ciel,
Ouvre-moi l'horizon.

Demain, c'est toi
L'avenir de mes pas.
C'est l'été qui commence,
Quelque chose comme la chance.
Demain,
Demain, c'est toi,
La musique de ma voix,
Le vent qui me soulève,
Le bonheur qui m'enlève,
Comme un rêve

Et tu m'emporteras
A l'envers de l'hiver.
Tu me réchaufferas
D'un grand feu de lumière
Et tu m'envoleras
Plus haut que l'univers.
Notre amour survivra
Quand tout sera poussière.

Demain, c'est toi.
L'avenir de mes pas,
C'est l'été qui commence,
Quelque chose comme la chance.
Demain,
Demain, c'est toi,
La musique de ma voix,
Le vent qui me soulève,
Le bonheur qui m'enlève,
Comme un rêve.

Friday, July 29, 2011

Will you send me an Angel - Scorpions



On the nail ... detail of David Mach's Die Harder (2010) at Edinburgh's City Art Centre, a sculpture made from coat hangers which marks the 400th anniversary of the King James Bible. Photograph: Richard Riddick



The wise man said just walk this way
To the dawn of the light
The wind will blow into your face
As the years pass you by
Hear this voice from deep inside
It's the call of your heart
Close your eyes and your will find
The passage out of the dark

Here I am
Will you send me an angel
Here I am
In the land of the morning star

The wise man said just find your place
In the eye of the storm
Seek the roses along the way
Just beware of the thorns

Here I am
Will you send me an angel
Here I am
In the land of the morning star

The wise man said just raise your hand
And reach out for the spell
Find the door to the promised land
Just believe in yourself
Hear this voice from deep inside
It's the call of your heart
Close your eyes and your will find
The passage out of the dark

Here I am
Will you send me an angel
Here I am
In the land of the morning star
Here I am
Will you send me an angel
Here I am
In the land of the morning star

Salma Hayek to produce the 3D Movie of Gibran Khalil Gibran genius Book THE PROPHET





Salma Hayek Production Company «the Ventanarosa Productions» will produce The Famous Book Of  our Lebanese Genius Gibran Khalil Gibran with Clark Peterson and Ron Senkowski and two lebanese Hayssam and Nael Nasr from Mygroup Lebanon with Mohamad fathallah  the Media International Pictures to distribute the movie in Lebanon and the Arab world the link between the Lebanese and the American productions , Lebanon will participate in 25% of production budget expected to be 12 million dollars, the contract was signed mid June 2011 after buying the copyright from GNC Gibran Khalil Gibran National Committee in Bechareh . Each Chapter of the Book will be directed by a different director who are the following filmmakers Sylvain Chomet (The Triplets of Belleville), John Stevenson (Kung Fu Panda), Marjane Satrapi (Persepolis), Chris Landreth (Oscar-winning short Ryan), Tomm Moore (The Secret of Kells), Nina Paley (Sita Sings the Blues), Bill Plympton (Guard Dog and Your Face) and Kunio Kato (Oscar winning short Tsumiki no ie)



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